3 films, 3 documentaires, des débats riches et bienveillants, et un public au rendez-vous pour libérer la parole et faire évoluer les regards.
Le festival s’est ouvert avec “La vie de ma mère” de Julien Carpentier, en présence du réalisateur, de Christelle Lefetz (psychiatre) et de Véronique Merlier, personne concernée — un moment fort et émouvant
Bravo à tous les participants, intervenants et partenaires pour cette belle édition qui met l’humain au cœur du 7e art.