Culture

Près de 3000 festivaliers pour les 20 ans du Poulpaphone

Le festival Poulpaphone a fêté ses 20 ans en beauté à l’Embarcadère, avec près de 3000 spectateurs venus célébrer la musique et la découverte malgré une météo capricieuse.

Publié le

Un festival maintenu grâce à l’Embarcadère

Alors que de nombreux évènements du week-end ont dû être annulés, le Poulpaphone a su maintenir sa programmation, notamment grâce à l’Embarcadère qui a permis d’abriter les principales scènes.
Installé dans ce lieu depuis deux ans, le festival a su y gagner en confort et en qualité d’accueil, tant pour le public que pour les artistes.

Une programmation éclectique saluée par le public

Fidèle à sa ligne artistique tournée vers la découverte et l’éclectisme, le Poulpaphone a séduit les festivaliers par la diversité et l’énergie de ses propositions :

  • Maddy Street, véritable révélation, a embarqué un public conquis par son univers inclassable.

  • Miki, dont la pop urbaine séduit un public de plus en plus large, a joué à guichets fermés dans la petite salle.

  • Les têtes d’affiche n’ont pas déçu : Naza (rap) et Kompromat (électro) ont fait vibrer l’Embarcadère, tout comme le duo rock The Inspector Cluzo, particulièrement proche du public et grand vainqueur côté merchandising.

Sam Sauvage, la fierté locale

Côté scène locale, la Music Box a de nouveau attiré les curieux, mais c’est surtout Sam Sauvage, artiste Boulonnais passé par la couveuse du Poulpa+, qui a marqué cette édition.
Devenu aujourd’hui un artiste en pleine ascension sur la scène nationale, il a offert un concert émouvant et généreux, heureux de revenir jouer sur ses terres dans ce festival qu’il a connu en tant que spectateur.