Un festival maintenu grâce à l’Embarcadère
Alors que de nombreux évènements du week-end ont dû être annulés, le Poulpaphone a su maintenir sa programmation, notamment grâce à l’Embarcadère qui a permis d’abriter les principales scènes.
Installé dans ce lieu depuis deux ans, le festival a su y gagner en confort et en qualité d’accueil, tant pour le public que pour les artistes.
Une programmation éclectique saluée par le public
Fidèle à sa ligne artistique tournée vers la découverte et l’éclectisme, le Poulpaphone a séduit les festivaliers par la diversité et l’énergie de ses propositions :
Maddy Street, véritable révélation, a embarqué un public conquis par son univers inclassable.
Miki, dont la pop urbaine séduit un public de plus en plus large, a joué à guichets fermés dans la petite salle.
Les têtes d’affiche n’ont pas déçu : Naza (rap) et Kompromat (électro) ont fait vibrer l’Embarcadère, tout comme le duo rock The Inspector Cluzo, particulièrement proche du public et grand vainqueur côté merchandising.
Sam Sauvage, la fierté locale
Côté scène locale, la Music Box a de nouveau attiré les curieux, mais c’est surtout Sam Sauvage, artiste Boulonnais passé par la couveuse du Poulpa+, qui a marqué cette édition.
Devenu aujourd’hui un artiste en pleine ascension sur la scène nationale, il a offert un concert émouvant et généreux, heureux de revenir jouer sur ses terres dans ce festival qu’il a connu en tant que spectateur.